Cet article est le quatorzième épisode de la série d'articles intitulée : la saga du vélo unique.

31 petits kilomètres et quelques photos. Le temps est moche, gris et humide, mais tout va bien.

Le vélo roule bien. Les vitesses passent bien. Et première petite surprise : il freine déjà bien. Un rodage ultra-minimum a l'air de suffire. (Le mot rodage est d'ailleurs un abus de langage ici : il faut seulement que les plaquettes et les disques se salissent un peu et que les revêtements s'amalgament pour que le freinage s'améliore.) Deuxième petite surprise : le vélo ne fait aucun bruit. On n'entend pas la transmission, il n'y a aucun bruit de chaîne, rien... Est-ce dû au cadre acier qui résonne différemment d'un cadre aluminium ? Même la roue-libre que j'entendais plutôt fort à la maison s'entend à peine à l'air libre.

L'ergonomie de la commande de dérailleur microshift XLE est toujours aussi agréable, mais après une année de commandes Shimano GRX, je trouve maintenant les repose-mains peut-être un peu trop fins. Les commandes GRX sont plus épaisses et mes mains se positionnent mieux dessus. Je vais peut-être essayer de mettre un peu de rembourrage sous les caoutchoucs qui recouvrent les commandes. Par expérience, cela ne marche jamais, mais cela ne coûte pas grand chose d'essayer. Le cintre est sans doute aussi un peu trop orienté vers le haut. Je vais remédier à cela aussi.

Je teste aussi une position un peu différente, avec une potence de 60 mm et un déport de selle de 40 mm vers l'arrière : intéressant. Peut-être que je suis mieux équilibré sur le vélo, avec moins de poids sur les mains. À creuser.

La suite au prochain épisode.